2017
Je n'ai bien entendu toujours pas d'avocat dans cette affaire et je continue en crevant doucement, à me battre seul. Parce qu'en France, les junkies alcooliques violents et menteurs se paient des ténors du Barreau, et les cons comme moi se font défoncer comme des criminels.
Sans avocat ça va forcément prendre beaucoup de temps mais sur ma vie, jamais je ne lâcherai ces sociopathes. S'ils font pire, personne ne pourra dire que je n'avais pas prévenu.
Les procédures suivent leur cours et d'autres arriveront (tentative d'homicide, dénonciation calomnieuse, omission de porter secours, révision de procès, IGPN, Cour européenne).
2022
Aucun avocat n'a jamais fait le boulot, y compris ceux et celles qui m'ont promis monts et merveilles, notamment ce que je ne leur demandais pas. Et qui ont fini par ne rien foutre du tout.
Mon état de santé s'est dégradé et continue à se dégrader mais je ne cesserai jamais de me battre, même à genoux.
Ce site est tout ce qui me reste pour lever le poing.
29 octobre 2014
J'ai été de nouveau condamné comme mes agresseurs en appel, donc, et maintenant, on va prendre mon ADN comme pour un serial killer.
J'ai appelé plusieurs fois Maître Saint-Palais, avocat des drogués repris de justice pour le supplier que ses clients disent la vérité, aucune réaction.
Je suis en contact avec le Conseiller justice de François Hollande, Madame Françoise Tomé, et le cabinet de Christane Taubira, rien.
Les plaintes à l'IGPN (condamnation sur faux témoignage de policier en 2008, m'ayant enfoncé dans cette affaire) et Défenseur des droits sont restées lettre morte.
J'ai prévenu tout le monde y compris des médecins que tout ça était en train de me tuer, rien.
J'en suis à faire une demande de révision du procès... Voilà où on en arrive dans ce système judicaire cassé, alimenté par la complicité des flics menteurs et des magistrats grabataires.
Demande acceptée par le Ministère de la justice par courrier postal m'étant adressé.
Ci-dessous, procès-verbal au sujet de la barre de fer saisie par la police (photo) et avec laquelle Samy Nait Mohand m'a frappé au visage alors que j'étais à terre sous le poids de son ami Fouad
Moi, après l'agression (trois photos à Lariboisière et une dans la voiture de police qui m'emmenait déposer plainte).
Contenu de l'urine d'un de mes agresseurs
Ci-dessus le contenu des urines d'un de mes agresseurs : cocaïne, opiacées (en plus de l'alcool), sur la voie publique.
Et la Présidente du Tribunal correctionnel lui fait confiance quand il dit que moi je l'aurais agressé et pas le contraire.
Celle-ci, totalement décontractée et en balançant des blagues comme dans un one man show, a tout simplement appliqué la loi de la cour de récréation, en gros : "Je veux pas savoir qui a commencé, vous allez tous au coin" ; à l'école primaire ce serait déjà une décision d'irresponsable. Sauf que là c'est un tribunal correctionnel... Avec une magistrate qui effectue sa dernière journée et qui se dit qu'elle peut faire le show.
Voilà comment ça se passe dans un tribunal de la République : comme dans un sketch de Dany Boon.
Pendant ce temps, l'ami ou le cousin de Fouad, je sais plus, Salim Nait Mohand, voulait me tuer le 6 janvier 2013, a menti sous serment en prétendant que je l'avais frappé d'un coup de marteau, il continuait à vouloir me tuer le 14 juillet 2013 (devant trois policiers qui l'ont laissé repartir sans bouger) a tout cassé devant chez moi, et n'est toujours pas inquiété par la police et la justice.
Le délit commis par Salim Nait Mohand est prévu par le Code pénal, article 222-17 (menaces de mort réitérées).
Le délit commis par les policiers est prévu par le Code pénal, article 223-6 (omission de porter secours).
Nous avons tous pris 5 mois de prison avec sursis en première audience, puis la même chose en appel (moi, 3 au lieu de 5, quel bonheur), comme dans la cour de récré avec le maître d'école qui veut pas savoir qui a commencé et qui s'en lave les mains.
Mais moi je ne m'en lave pas les mains. J'ai été agressé, ils ont failli m'assassiner et personne ne me condamnera pour avoir défendu ma vie. Ce qui s'est passé ce jour-là s'appelle une tentative d'homicide et je vais déposer une plainte pour ce motif contre Samy Nait Mohand.
J'irai jusqu'au Conseil d'Etat et jusqu'en Cour européenne s'il le faut. Je ne suis pas un voyou et je ne frappe pas les gens sans la seule raison valable : éviter qu'ils me tuent.
D'autre part, cette procédure étant terminée, puisque mon avocate a commis l'erreur de ne pas m'informer du délai de cinq jours pour aller en cassation je vais déposer plainte contre les trois dégénérés qui ont affirmé que j'avais blessé leur voisin au marteau sur le petit doigt, pour dénonciation calomnieuse - dont Salim Nait Mohand (Code pénal 226-12).
J'ai le dossier de police, en tant que partie civile, et j'ai donc leurs identités, qui seront transmises au Procureur de la République en temps voulu.
J'adresserai aussi une requête au Conseil supérieur de la magistrature au sujet du comportement inapproprié d'un magistrat pendant la première audience.
Enfin, concernant les conditions de détention dignes d'un pays totalitaire et les multiples violations du Code de procédure pénale et de la Convention européenne des Droits de l'Homme, dont j'ai été victime (ainsi que mes agresseurs, d'ailleurs), j'ai prévenu le Défenseur des droits et déposé plainte par courrier recommandé auprès de l'Inspection générale de la police (police des polices), entre autres pour omission de porter secours, refus de soin, pression pour signer des documents, non-respect de la procédure légale de la garde à vue, refus d'entendre un témoin.
La plainte contre les policiers incriminés a été confirmée par mon audition et ma déposition enregistrée par le Capitaine Gargaud, dans les locaux de l'Inspection générale de la police nationale, le 30 décembre 2014.
Agression par Fouad, Samy et Salim Nait Mohand
Dénonciation Calomnieuse
Le 6 janvier 2013, je me fais agresser par deux drogués (cocaïne, opiacées) alcoolisés devant chez moi. Ils me frappent à coups de poing, à coup de casque, à coups de barre de fer et à coups de pied dans la figure (la drogue et l'alcool dans le sang les pousse à ravager le mur de mon appartement sur lequel je raconte depuis des mois mes mésaventures, puis à me foutre sur la gueule).
Je me défends aux poings. Je suis condamné comme eux, moi pour avoir défendu ma vie.