Bernard Vivien / Radio Thollon - La Radio Plus
L'Africain
Bernard, à l'époque PDG de Radio Thollon / La Radio Plus, passait beaucoup de temps avec son commercial au comptoir du bar d'où il tentait de me donner des leçons de vie, en buvant beaucoup de petits coups pour terminer torché. Il a passé son temps à violer ma vie privée, à raconter tout et n'importe quoi sur moi, à produire de fausses attestations en justice aux prud'hommes, comem c'est la tradition dans ce milieu de tordus.
Comme Stéphane Rogne (Radio Star Bourgogne), il m'a licencié pour me ré-embaucher quelques semaines plus tard... Un comportement logique...
Après mon licenciement sur du vent, il me convoque dans sa villa au bord du lac Léman pour me proposer 10 000 francs en échange de l'abandon de ma plainte (je ne les ai pas pris bien entendu).
Pourquoi ai-je été licencié ? Pour avoir laissé l'antenne de Radio Thollon basculée en plein morning (prime time radio) sur la banque de programmes AFP (pour les non-initiés, l'AFP - Agence France Presse - produisait un programme radio 24 / 24 à diffuser sur n'importe quelle antenne de radio FM en poussant simplement un bouton ; ce programme était destiné selon les radios à être diffusé soit pendant les heures creuses, la nuit, par exemple, soit en secours, comme dans mon cas).
Pourquoi ai-je basculé l'antenne sur l'AFP ? Parce qu'un matin, après avoir régulièrement prévenu la direction de la radio de multiples pannes du matériel, sans réaction, plus aucun outil de diffusion ne fonctionnait : lecteurs CD, lecteurs MD, etc. Il ne restait plus que l'AFP.
J'ai été licencié pour avoir sauvé l'antenne du blanc total.
Bernard a été par ailleurs condamné par la justice pour avoir tenté d'écraser sa petite amie avec son 4x4 (source La Tribune de Genève). J'habitais le même immeuble que lui à Thonon-les-Bains et une voisine me racontait l'entendre hurler chaque soir contre la dite-petite amie.
A l'époque, il était "en fuite" au Maroc pour échapper à la justice française, où il a monté un complexe hôtelier (source La Tribune de Genève).
Pour Nanard, pas de prud'hommes, il y a prescription.
Mais plainte pour atteinte à la vie privée, diffamation, dénonciation calomnieuse.