La radio, c'est ça.
Ensuite, je l'insulte et lui dis qu'il est, en plus, "bête" et qu'il "ne pense qu'à lui".
Et le plus fabuleux dans cette histoire, et le plus douloureux, ce n'est pas sa vanne immonde, non, le plus fascinant sur la nature humaine, c'est que ce trou-du-cul me répond ça :
Le 14 juillet 2013, c'est "ma Fête nationale" : je suis agressé chez moi et menacé de mort devant 3 policiers par la même personne (Nait Mohand Salim) qui m'a déjà menacé de mort le 6 janvier (ses amis drogués et alcoolisés m'ayant le même jour et pour leur part mis sur la gueule à coups de baramine et de pied dans la figure - photo ci-dessous).
Pourquoi m'agressent-ils ? Parce que l'un des deux est dérangé par les affiches sur le mur de mon logement et qu'il est sous l'effet de substances lui faisant perdre la tête.
Ce jour-là, je suis dans un état émotionnel lamentable, additionné à la somme hallucinante d'emmerdes et d'agressions et à l'immobilisme des policiers qui se sont contentés de vérifier l'identité du gars et sont repartis sans l'interpeller. Je suis écoeuré, démoli. Jérôme Delaveau connaît ma situation.
Je mets le statut ci-dessous sur mon profil Facebook.
Suit la réaction de Jérôme Delaveau (sachant que je ne le connais, que par Facebook, je le précise...) - voir la capture ci-dessous.
Jérôme Delaveau / Champagne FM
Le Précieux Ridicule
Venant d'un trentenaire dont les journées se résument à savoir quel jolie veste il va mettre pour se faire sauter par un mec bien monté et à parader sur Facebook comme une gamine de treize ans, c'est drôle.