Lionel Forey - FMC / Prod 60

L'Homme-Corbeau

22 septembre 2014

Nouveau courrier au Procureur de la République concernant Lionel Forey, accompagné de 49 pages de pièces justificatives.

Lionel Forey m'a harcelé régulièrement par plusieurs moyens depuis 2003 jusqu'à dernièrement, à la suite d'un différend "professionnel" qu'il n'a jamais voulu régler par la discussion.
NB : le nom FMC n'est là que pour situer les activités professionnelles de Lionel et ne met pas en cause la station.

Quand j'ai connu Lionel dans l'Oise dans les années 90, c'était un mec sympa. Je lui ai rendu des services, il m'en a rendu.

En 2003, j'étais au chômage, en fin de droits, j'habitais Deauville, où j'avais travaillé à Cocktail FM et d'où je m'étais fait licencier pour une raison encore inconnue à ce jour et après des mois de harcèlement et de comportement bizarre de la part de son directeur, Frédéric Rousseau.

Lionel me propose de travailler pour la radio FMC, où j'avais déjà travaillé et dont il était l'homme à tout faire, dont la direction d'antenne. Je lui dis que c'est une bonne idée. Il me présente les conditions "d'embauche" :

- prise en charge de mon logement
- prêt d'une voiture pour mes déplacements (une vieille Seat)
- pas de contrat de travail
- pas de salaire.

Il me présente également un contrat moral écrit dans lequel, en gros, il veut que je reconnaisse son autorité en tant que supérieur hiérarchique et également que j'accepte "d'apprendre" certaines choses sur la direction d'antenne.
Bien entendu, je ne signe pas son contrat mais je lui dis que c'est d'accord pour le reste. Non que je trouve ça normal, mais en fin de droits, à 200 km de ma famille (j'en avais encore à l'époque), en dépression et perdu dans le vide, après 4 ou 5 mois de harcèlement, je me dis que ça aura un côté bénéfique pour moi, même si le marché n'est pas très honnête.

Je trouve un appartement, à environ 20 km de Creil / Saint-Maximin, où se trouve la radio, Lionel loue un camion de 20 mètres cube pour mon déménagement. La veille, je l'appelle pour savoir s'il a bien prévu la ligne de téléphone dans mon logement (pour internet), en précisant que moi je paie la facture d'environ 15 € par mois et que la ligne sera bloquée (pas de possibilité d'appels téléphoniques). Il me dit qu'il n'ouvrira pas de ligne de téléphone. Je lui dis que ce n'est pas possible, que c'est un besoin normal et pour moi un outil indispensable à tout point de vue (y compris dans son intérêt à lui). Il ne veut rien savoir. Je lui dis donc que j'annule tout et je reste à Deauville.

Il commence à m'envoyer des messages d'insultes sur des messageries personnelles directes et par mail. Il me reproche de lui avoir fait perdre l'argent de la caution de l'appartement et celui de la location du camion. Je lui réponds plusieurs fois que premièrement, il faut qu'il arrête de m'insulter, et qu'ensuite, il m'envoie la facture, que je le rembourserai en plusieurs fois. Mais jamais il ne répond ni ne m'envoie aucun document.
Lionel, il me l'a montré et raconté maintes fois, est quelqu'un qui refuse le système, qui est révolté et qui a choisi comme moyen de combat : la violation des règles. Par contre, lorsqu'il instaure comme règle : "il n'y a pas de règle", il semble attendre que la personne en face, elle, respecte les règles que lui ne respecte pas.


Tout ça, c'était au printemps 2003. Depuis ce jour, il n'a jamais cessé de me harceler, par mail, par coups de fils, anonymes ou pas, à moi ou à des employeurs auxquels il racontait tout et n'importe quoi, dans lesquels il m'accusait de choses imaginaires, m'insultant, tronquant l'histoire en ne racontant que ce qui l'arrange, par messages diffamatoires sur la Libre Antenne de www.radioactu.com, le site professionnel de la radio. La libre antenne étant le forum de discussion lu par toute la profession du plus petit au plus grand dans l'échelle du métier. Pendant 11 ans, à ce jour, il me poursuit  dans chaque radio où j'arrive. Ses messages sur forum public sont souvent des messages contenant un signe que je suis le seul à pouvoir repérer, ce qui lui permet - parfois - de pouvoir m'atteindre et me blesser sans toutefois se mettre en danger (croit-il).
Après www.radioactu.com, il continue sur ma page Facebook www.facebook.com/resistanceruedechantilly dès 2012, en utilisant soit sa propre identité, soit des pseudonymes et parfois en usurpant l'identité d'un animateur de grande notoriété publique.

Lionel est passé maître dans l'art d'utiliser un nombre incalculable de faux profils sur Facebook, sur internet, sur les forums, il est également assez doué, à ma connaissance, en informatique, ce qui lui permet de manipuler brillamment beaucou de gens.

Il est tellement doué qu'il s'est fait pincer en 2006. Il faut dire que cette fois, ce n'est pas l'identité d'un animateur radio ou la mienne, qu'il a subtilisée, mais directement des marques appartenant au groupe NRJ. NRJ ayant des moyens plus élaborés que moi, ils n'ont pas mis 11 ans à le calmer.
Le jugement du Tribunal de grande instance de Paris tout en bas illustre cet évenement : multiples condamnations.

Avec ça et le reste, je pensais avoir tout vu avec Lionel, mais en 2012 me sont arrivées de nouvelles informations.

En 2008, d'après les informations et le témoignage en ma possession, il est passé à la vitesse supérieure, comme je l'avais prédit. J'avais exhorté les gens qui le laissaient faire, y compris dans mon entourage, à m'aider à l'arrêter avant qu'il ne fasse plus grave, aidé en cela par le sentiment d'impunité.

En 2008, il usurpe mon identité, pirate mon adresse mail professionnelle à Parenthèse Radio, envoie un mail de menace à Philippe Marty, chef d'antenne, puis l'appelle, selon Marty, une dizaine de fois en pleine nuit, réveillant ses enfants. Lors du dernier appel, il lui demande "Alors Marty, t'es pas encore mort ?", et ce, après lui avoir envoyé des menaces de mort à peine voilées avec ma propre adresse mail.

Tout ça me vaudra une interpellation musclée devant la radio le 3 septembre 2008, puis une garde à vue de 36 heures, puis une peruisition à mon domicile, à la recherche d'une arme à feu qui n'existe pas. Bien entendu, le flic se rend compte un peu tard qu'il s'est fait berner, je suis relâché. Personne n'ouvre d'enquête pour savoir qui a fait tout ça, ni Marty ni persnne ne porte plainte. Comme depusi des années, tous les gens impliqués dans cette folie ne réagissent pas, comme si ça n'étaot pas grave, et comme d'habitude, Lionel Forey, se sentant libre de continuer, continuera au moins jusqu'en 2016.

Le résultat de tout ça est une vie détruite. Lionel fait partie des deux ou trois personnes à avoir le plus oeuvré pour cette destruction, par l'incroyable entêtement qu'il a mis à me poursuivre et par la gravité des faits.

Mais encore une fois, les plus irresponsables dans cette histoire, plus que ce dingue, sont ceux qui se prétendent sains d'esprit et qui le laissent continuer en toute impunité.

Moi je ne lâche pas. Je me battrai pour envoyer cette pourriture en taule, j'arrêterai pas tant que ce sera pas réglé.

Jugement du Tribunal de grande instance de Paris, en date du 8 mars 2006, condamnant Lionel Forey pour avoir usurpé des marques déposées par le groupe NRJ.

Paintes déposées par moi et en cours contre Lionel Forey pour harcèlement, atteinte à la vie privée, injures publiques, diffamation, dénonciation calomnieuse, usurpation d'identité, menaces.

Dernier rendez-vous en date : audience enregistrée par greffière devant un juge d'instruction le 3 octobre 2016.

Ci-dessous, une partie des traces de plainte ou mains courantes déposées au fil des années contre Lionel Forey ou contre X.

En ce qui concerne les plaintes auprès du Procureur, aucune d'entre elles n'est allée à son terme car :
- je déménageais souvent, perte de courrier
- je travaillais, j'étais seul, loin des miens, pas la force, aucune aide
- j'étais en dépression, encore moins la force
- je n'avais pas d'avocat.



Aujourd'hui :
- je ne déménage plus
- je ne travaille plus
- je suis toujours en dépression mais j'ai tout mon temps
- j'ai de nouveaux éléments et des témoignages.