16 janvier 2017

Nouveau courrier recommandé et fax avec pièces justificatives à la juge qui s'occupe de mon affaire.

Comme par hasard et alors que je lui fournis toutes les pièces demandées, la juge prononce une extinction de l'action publique. Et Me. Le Grontec mon avocat-commis-d'office-branleur, ne donne jamais plus jamais de nouvelles, même pour aller au civil.

Isabelle Attali-Schmid / Parenthèse Radio SOFISA

Manipulations, Mensonges et Radio (et Fillon)

Ici, l'histoire de mon travail d'animateur-journaliste détruits par Isabelle Attali-Schmid, ex-PDG de la station Parenthèse Radio puis conseillère de François Fillon pour les élections présidentielles de 2017, qui a allègrement violé le Code du travail, menti à la police, m'a harcelé et menacé trois mois durant et a établi des faux -(faux et usage de faux, condamnation en justice).

Isabelle Attali-Schmid est ce qu'on appelle une psychopathe en col blanc, hystérique et psychorigide. Elle ne iscute pas, elle flingue.

C'est dans le cadre de mon conflit avec Isabelle Atta-Schmid que Lionel Forey est venu se greffer de l'extérieur à ce conflit pour l'envenimer, en usurpant mon identité et en menaçant de mort mon chef d'antenne, Philippe Marty.

Les contrats antidatés sont visibles dans le gros rond rouge au-dessus.

Isabelle, est la même qui a réussi à construire sous le quinquennat Sarkozy, un réseau FM national avec des fréquences dans de grandes villes en quelques mois, sans rien connaître à la radio, exploit jamais survenu dans toute l'histoire de la radio... La même qui est devenue Cheffe de cabinet de Nora Berra, Secrétaire d'Etat sous Sarkozy. La même qui fut ensuite conseillère de François Fillon pour les élections de 2017 et qui vient pleurer dans le JDD à la tricherie ( !! ) au moment de l'élection du Président de l'UMP (Copé / Fillon) - article à consulter ci-dessous.

3 octobre 2016

Après plusieurs reports, j'ai enfin été entendu par un juge d'instruction au Tribunal de grande instance de Paris (après avoir dormi dans ma voiture et fait 350 km en voiture avec l'argent prêté par un élu de ma région).

Cette audience a été enregistrée par greffière, en présence de mon avocat - un branleur qui n'a rien foutu, m'a promos dix trucs qu'il n'a pas fait, et est arrivé dix minutes en retard à l'audience. Félicitations Me. Le Grontec.

23 novembre 2015
Je suis entendu pendant deux heures à la gendarmerie, afin de confirmer ma plainte. PV transmis au Doyen des juges par la gendarmerie.





11 mars 2016
En tant que partie civile, je suis convoqué chez la juge Gendre pour être auditionné.

17 février 2015

Après décision du Conseil des prud'hommes de Paris en date du 31 juillet 2014, mon avocate m'envoie le chèque de 3649,50 € correspondant aux dommages et intérêts pour licenciement abusif et autres motifs, desquels elle a soustrait son pourcentage. La somme totale allouée est de 4220 €.

Rendez-vous maintenant avec Isabelle Attali-Schmid, et non sa société, au pénal.

14 novembre 2014

Je verse 500 € de consignation en tant que partie civile dans le dossier de la plainte pour harcèlement et menaces contre Isabelle Attali-Schmid. 3 mois et demi après dépôt de ma plainte on en est seulement là.
Dans le même temps, Madame Schmid a réussi en dix jours à me faire mettre en garde à vue le 4 novembre au commissariat de Paris 8 pour "appel malveillant" au siège de Force républicaine, le mouvement de François fillon qu'elle soutient pour 2017 et dont elle est conseillère (son ci-dessous, pour écouter à quel point je suis "malveillant").
Que la justice suive son cours - si elle s'applique à chaque citoyen de manière équitable.

Plainte contre Isabelle Attali-Schmid pour harcèlement et menaces

Liste des procédures en justice lancées par mes soins suite à cette affaire

- En ce qui concerne le harcèlement moral, les menaces et l'atteinte à la liberté d'expression de la part d'Isabelle Attali-Schmid, une plainte est en cours auprès du Doyen des juges d'instruction de Paris.

- En ce qui concerne les injures publiques et les propos diffamatoires proférés par Philippe Marty et Manon Bakour sur internet, une plainte est en cours auprès du Doyen des juges d'instruction de Paris.

- En ce qui concerne la non-réaction de Philippe Marty à la violation du Code du travail et du Code pénal par Isabelle Atalli-Schmid lors de mon licenciement (en sa qualité de supérieur hiérarchique direct) je prépare une plainte pour omission de porter secours contre Philippe Marty.

- En ce qui concerne l'usurpation de mon identité pour menacer de mort Philippe Marty, une plainte est en cours contre Lionel Forey (FMC Radio / Prod 60) et contre X.

- En ce qui concerne les violations de mes droits, les agressions et les violations du Code de procédure pénal par des fonctionnaires de police, une plainte est en cours auprès de l'Inspection générale de la police nationale et du Défenseur des Droits.

- Et en ce qui concerne... l'absence d'enquête diligentée par le Défenseur des droits et l'IGPN, 20 mois après ma plainte (motif du Défenseur des droits : nous n'avons pas encore reçu le dossier du Parquet, au bout de dix-huit mois...) en ce qui concerne cette "non-enquête", donc, je prépare une plainte auprès du Conseil d'Etat et je demande l'aide d'un avocat.

Par ailleurs :
- j'ai pris contact avec un détective privé
- je suis en contact avec un journaliste de quotidien national, un journaliste d'hebdo national, une journaliste de mensuel national, une journaliste de radio périphérique et un journaliste de chaîne nationale généraliste.

Affaire Parenthèse Radio Licenciement Abusif, Harcèlement Moral Lié et Menaces par Isabelle Attali-SchmidUsurpation de Mon Identité et Menaces de Mort par Lionel ForeyGarde à Vue - PerquisitionAgression - Faux Témoignage - Diffamation - Injures Publiques

Parenthèse Radio était une radio à couverture FM nationale, née en octobre 2007 et morte en 2009. Elle était diffusée également sur Canalsat, internet et divers canaux. Ses locaux et studios étaient situés à Paris mais elle ne possédait pas de fréquence parisienne. Son format était "100% Talk Famille" (aucune diffusion de musique, thématique familiale), axant ses émissions sur des débats le plus houleux possible (modèle RMC Info). Sa patronne était Isabelle Attali-Schmid.
NB : la station ayant repris le nom et l'adresse de site de Parenthèse Radio après 2008 n'a rien à voir avec cette histoire.

J'animais l'émission sur la paternité tous les samedi matins en direct. Le 24 juillet 2008, je suis licencié. Officiellement pour une prétendue faute à l'antenne. Officieusement parce que j'ai refusé de signer des contrats antidatés établis de la main même d'Isabelle Schmid, PDG - ce qui est une grave violation du Code du travail, pour ceux qui ne seraient pas habitués à ce genre de procédés mafieux. NB : les contrats antidatés sont visibles en haut en cliquant sur le gros point rouge.

Le 3 septembre 2008, je retourne chercher mes affaires à la radio après licenciement (mug, livres, CD). Qui d'ailleurs ne m'ont jamais été rendus, mis à part le mug.
On m'interdit l'accès à la radio, je suis interpellé devant la station par la police pour des raisons inconnues de moi à ce moment-là et pendant 5 ans jusqu'au 9 décembre 2013. Interpellé sans raison légale. Menotté directement, sans que je résiste.
Je suis sur le siège arrière de la voiture de police, pleurant, ne disant mot, ne comprenant rien, tête baissée, les mains menottées dans le dos.
A ce moment, le Capitaine de police, Laurent Bruneau, se retourne et me dit "Toi, t'es un connard".

Dans le rapport de police, voilà comment est rapportée cette scène : Monsieur Vigliano a insulté et outragé le capitaine de police, et s'est rebellé.
Mon appartement est perquisitionné.
Par la suite, je suis condamné pour avoir prétendument insulté et outragé l'officier de police agresseur et pour avoir prétendument cassé une porte (qui l'était déjà depuis un an). Condamné par défaut, sans être convoqué au tribunal, sans être défendu par un avocat, et sans recevoir de notification de jugement.

4 ans plus tard, le 9 novembre 2012, sur une page publique Facebook, j'apprends fortuitement que j'aurais été accusé en 2008 par mon supérieur hiérarchique (Philippe Marty, Chef d'antenne) de l'avoir menacé, je cite, "par arme à feu". Que j'aurais "réveillé des enfants à deux heures du matin". Et ce, en des termes orduriers, insultants, menaçants, de la part d'une personne que je ne connais même pas : Manon Bakour. J'apprendrai plus tard par un ami animateur que Manon est la petite amie de Philippe Marty...
Tout petits extraits ci-dessous.

Mon émission sur l'aliénation parentale du 28 juin 2008

Ci-dessous, capture d'écran du site de la radio, avec description de l'émission, nom et qualité des invités.

Emission sur l'Aliénation Parentale - Deuxième Heure - 28 juin 2008 - 10h00 / 11h00
Emission sur l'Aliénation Parentale - Première Heure - 28 juin 2008 - 9h00 / 10h00

Montage sonore réalisé au moment où j'étais au fond du trou, histoire de décompresser un peu...

Convocation aux prud'hommes
12 septembre 2013

Extrait de l'Emission Citée dans la Lettre, sur l'Aliénation Parentale - 28 juin 2008 10h11

Ci-dessus, l'extrait sonore qui m'a valu un licenciement (premier point de la lettre). Et la totalité de l'émission sans montage et en deux parties. Je suis obligé de me justifier et me défendre ici, dans la mesure où je n'en ai pas eu l'occasion ailleurs...
- On peut constater qu'aucun auditeur ne cautionne la violence et que le second parle de la logique amenant des pères à la violence (y compris contre eux-mêmes en se suicidant, ce que Madame Schmid omet de préciser dans sa lettre, bien entendu). Il parle de cette logique, il ne cautionne pas la violence.
- Je ne cautionne pas non plus la violence, je la dénonce même juste avant avec le premier auditeur.

Je précise puisque c'est un point qui n'est jamais abordé au sujet de cette radio, que le format de la radio était - théoriquement - un format de type "RMC". C'est à dire un format dans lequel les animateurs et journaliste étaient TENUS d'organiser des émissions dans lesquelles les débats devaient être le plus enflammés possible, notamment en "scénarisant" les émissions et en poussant les invités à la castagne verbale. Et en utilisant tout moyen légal pour organiser les clashs à l'antenne.
Ce principe était une des bases fondamentales du format Parenthèse Radio.


Deuxième point de la lettre.Mes émissions étaient préparées à hauteur d'environ 20 heures non rémunérées, chaque semaine, comportant :- recherche d'invités (en parallèle de mon assistante parfois sans contrat de stage, parfois non payée)- recherche documentaire- enregistrement et montage d'illustrations sonores, avec instructions et explications pour le réalisateur, puisque la direction refusait de mettre des moyens techniques et humains à disposition pour ce travail, pourtant encouragé par la même direction- établissement du conducteur- lecture d'ouvrages et visionnage de spectacles- achat le matin même de jus de fruit, sur mes propres deniers, pour les invités de l'émission - remboursés une fois sur deux.

La vérité est que j'arrivais à 7h00 du matin, en plus, pour une émission débutant à 9h00, et que chaque samedi, je me retrouvais avec des problèmes techniques, que je devais également gérer, car malgré les innombrables mails envoyés au chef des programmes, celui-ci ne donnait aucune réponse. Ca donnait des paniques à 7h00 du matin, seul dans la radio, pour trouver les micros qui avaient disparu du studio antenne et les installer.
La vérité est que la direction était incompétente artistiquement et techniquement, ce qui a été reconnu y compris par les irresponsables qui se sont laissés berner et qui ont signé les contrats antidatés comme des petits garçons et des petites filles bien gentils et qui dans le même temps n'ont pas levé le petit doigt pour moi. Tous ces gentils journalistes.

Concernant les teasings (autopromos pour mes émissions) je n'ai jamais refusé d'enregistrer le moindre teasing, je suis même venu moult fois en enregistrer, moult fois faire l'invité ou l'intervenant d'émissions qui n'en avaient pas. Je venais également deux fois par semaine pour la préparation de mon émission. Et entre autres pour réaliser, écrire, enregistrer sans être rémunéré une chronique cinéma de 3 minutes diffusée 14 fois par semaine minimum, pour laquelle la direction me félicitait chaque semaine. Tout ça sans prendre un seul centime et comme les autres animateurs de la radio.
J'ajoute pour la bonne forme que je n'avais aucune obligation, de toute façon - d'enregistrer quoi que ce soit.


Troisième point de la lettre.Je ne sais pas si mon émission générait moins d'appels que les autres émissions mais ça semble contredire tout ce qu'Isabelle Schmid me disait tout le temps... Bon. Admettons, où est le relevé des appels ? Et quand bien même ce serait le cas, ça n'a jamais été une cause de licenciement ; sauf bien entendu si c'est une clause du contrat de travail. Mais de contrat de travail, avec Isabelle Schmid... il n'y avait pas...


Quatrième point de la lettre.Je n'ai pas eu besoin de détériorer le "climat social" dans la radio, le climat social s'est détérioré en quelques jours dès le début des émissions en octobre 2007, les différents intervenants se plaignant des objectifs farfelus et incohérents d'Isabelle Schmid, du manque de moyens dramatique en lien avec les objectifs pré-cités et plus globalement, de son incompétence en matière artistique, éditoriale et sa manie de n'écouter aucune remarque, pas même celle du consultant qui lui, avait fait ses preuves à la radio. Pas comme Madame Schmid, qui, à part être très amie avec l'UMP, n'avait pas fait grand chose de sa vie avant d'essayer de construire une radio comme on voudrait envahir la Russie.


Oui, je n'en fais pas beaucoup sur Madame Schmid et l'UMP de peur d'être traité de gauchiste (ce que je ne suis pas plus que droitiste ou n'importe quelle autre connerie dans le genre) mais je précise tout de même qu'après son entreprise "tartufienne" avec Parenthèse Radio, Madame Schmid a été Directrice de cabinet de Nora Berra, Ministre sous Sarkozy. C'est quand j'ai appris ça que j'ai commencé à réfléchir à la manière dont Madame Schmid avait réussi à monter un réseau FM national en quelques mois, avec des fréquences comme Marseile, Toulouse ou Limoges, là où personne avant elle n'avait réussi un tel miracle dans toute l'histoire de la radio française.
Isabelle Attali-Schmid est en 2014 conseillère de Force Républicaine, le parti de François Fillon et elle twitte au sujet de... la légalité du financement de l'UMP ou encore sur les 35 heures...


Le 2 juillet 2008, donc, je n'ai fait que défendre ma vie face au comportement hystérique, totalitaire et psychotique de Madame Schmid. Et j'ai enregistré la conversation, cette fois.
Le mail que j'ai effectivement adressé après mon licenciement à la totalité du personnel (dont les trous du cul) n'est pas inadmissible, c'est juste le reflet de la vérité. Mais comme Madame Schmid est une menteuse, forcément, pour elle c'est inadmissible, inadmissible comme la vérité. Le mail sera publié ici prochainement lui aussi.
Quant à la salariée qui aurait été "choquée" par mes propos, je suppose qu'il s'agit de Gaëlle Renard, la pauvre petite à qui j'ai dit qu'elle ne connaissait rien de l'affaire quand elle a voulu émettre un avis incohérent :
- Gaëlle : Mais Jérôme, personne n'est propriétaire de sa traaaaanche (sur le ton condescendant de celle qui veut tout régler depuis son fauteuil et qui a tout compris à la vie)
- Moi : Gaëlle, il ne s'agit pas d'être propriétaire de sa tranche, il s'agit de ne pas accepter de se faire empapaouter en signant des contrats antidatés, qui plus est signé de la main d'une femme qui a passé un an à exploiter 20 ou 30 personnes.
Voilà, Gaëlle, elle aussi, a du être choquée par deux choses pourtant pures : la vérité et l'honneur. Mais je n'en veux pas à Gaëlle, quand on est borné on est borné. Par contre, je me fais du souci pour ses enfants. Une animatrice des Maternelles sur France 5 qui donne des leçons aux mamans téléspectatrices et qui fait la même chose sur Parenthèse Radio, mais qui en même temps se comporte dans son travail comme une gamine de 5e, je sais pas si c'est le bon casting, ni pour ce genre d'émissions ni pour élever des enfants.


Voilà pour les commentaires, en précisant enfin - comme je le dis plus bas dans ma réponse à Madame Schmid, que celle-ci a quand même employé des gens sans contrat de travail puis en leur faisant signer des contrats antidatés signés de sa main (voir en haut de cette page) et que pour ma part, elle a quand même réussi à m'employer en tant qu'intermittent d'un côté, et à me licencier en tant que salarié CDI de l'autre... normal. Ceci pour répondre à l'infâme bouillie d'inepties qui termine sa lettre de licenciement.

Ma lettre de licenciement, 100 % mensonges - 24 juillet 2008

(Licenciement abusif reconnu par le Conseil des prud'hommes de Paris le 31 juillet 2014)

Recommandé à Isabelle Schmid, PDG de Parenthèse Radio, 22 juillet 2008

Je conteste d'ores et déjà tout licenciement et dénonce son harcèlement, avant même d'avoir reçu ma lettre de licenciement

Isabelle Attali-Schmid, à droite

En 2008, Isabelle Schmid, PDG d'un réseau national Talk Radio 100 % Famille, me harcèle pendant des mois pour m'obliger à me faire signer des contrats antidatés, grave violation du Code du travail.
Puis elle me licencie dans des conditions très violentes pour moi. Pour avoir refusé de signer.
Pour tenter d'évacuer cette folie à l'époque, j'avais fait un montage de la bande son des Bronzés, film dans lequel Christian Clavier s'appelle Jérôme, comme moi, et dans lequel sa patiente, très forte en voix, s'appelle Madame Schmid, comme mon ex-patronne.
Le concept étant que dans ce montage, moi, Jérôme, médecin, tente de calmer l'hystérique Madame Schmid par des moyens médicaux, puisqu'elle semble un peu instable et colérique.
Imaginez que Thierry Lhermitte appelle Jérôme car Madame Schmid pète le boulard. Puis Jérôme vient lui administrer quelques soins pour la calmer. En tentant également d'aller voir les juges.
Puis cliquez sur le logo ci-contre.

Dépôt de plainte contre Isabelle Schmid, DG de Parenthèse Radio, pour harcèlement et menaces

2 juillet 2008

Désignation d'un mandataire ad hoc par le Tribunal de commerce, la société SOFISA Parenthèse Radio ayant fait faillite depuis mon licenciement

Aujourd'hui, 5 ans plus tard, le capitaine de police menteur n'est toujours pas revenu sur ses mensonges - bien entendu. La police et la justice n'ont ouvert aucune enquête malgré mes demandes par recommandé à l'époque, auprès du Procureur de la République - bien entendu. Et malgré les deux témoins policiers qui ont vu le capitaine m'insulter et n'ont rien dit - bien entendu.

Le 9 décembre 2013, après un an de questionnement et de terreur et grâce à mon site internet personnel www.jeromevigliano.com (actuellement ".fr"), j'ai eu le fin mot de l'histoire - si l'on en croit Philippe Marty, Chef d'antenne de Parenthèse Radio. C'est lui-même qui me raconte ce qui se serait passé en 2008 et dont personne ne m'a jamais parlé jusqu'ici...

Celui-ci aurait été victime en 2008 d'appels téléphoniques très inquiétants, dont la plupart en pleine nuit, le premier de la part d'un homme lui demandant "Alors, Marty, t'es pas encore mort ?" puis raccrochant immédiatement. Celui-ci a également reçu par mail à Parenthèse Radio ma photo de profil Facebook (moi avec des lunettes noires et une arme factice, photo volée sur mon profil Facebook).

Philippe Marty en aurait donc déduit que j'en voulais à sa vie. Manon Bakour, qui était venue m'accuser sur Facebook (captures ci-dessus) était donc la petite amie de Philippe Marty, et elle semblait donc penser elle aussi que j'étais un enfoiré, suite à cette manipulation. Et surtout grâce aux efforts poussés de Philippe Marty pour raconter partout et spécialement au personnel de Parenthèse Radio pendant des années que j'étais un "malade". Info donnée par Frédéric Says, à l'époque assistant à Parenthèse Radio et actuellement journaliste à France Culture, et Kenza Braïga, animatrice. Comme par hasard...

Deux autres psychopathes ont répandu la même rumeur infondée pendant des années, Olivier Leroux (MFM Radio) et Lionel Forey (ex-FMC Radio), j'en ai la preuve. J'ai également la preuve que ces gens ont été en contact et comme par hasard, j'ai été en conflit avec tous ces voyous à chaque fois parce qu'ils voulaient me faire bosser, soit sans me payer, soit sans contrat de travail, etc. Et comme par hasard, le même problème de contrat de travail avec Philippe Marty à Parenthèse Radio...

Donc : diffamation et dénonciation calomnieuse incessante et sans preuve pendant des années. Par trois personnes avec qui j'étais en conflit pour les mêmes raisons.
Bien entendu, Philippe crachait sa propagande sans avoir jamais eu la moindre conversation avec moi sur ce sujet. Philippe Marty prétend avoir déposé une plainte en 2008 lors de ce harcèlement. Mais il n'a gardé aucune trace de cette plainte, ni des appels, ni du mail de menace. Et la police ne m'a jamais parlé de cette histoire en garde à vue.

Je suis en train de mourir des mensonges des gens qui sont prêts à tout, qui n'ont ni foi ni loi. Y compris un représentant de la force publique. Il y a d'autre part un individu dangereux en liberté : Lionel Forey. Sa page est ici. Cet individu est le même qui me harcèle depuis dix ans par mail, appels téléphoniques, médisance, diffamation, menaces, parce que j'ai refusé en 2003 de travailler au noir pour lui sur une radio de l'Oise ; disons surtout qu'il a un problème inconscient qui le pousse à ne pas me lâcher les baskets... Depuis 2004, il n'a jamais cessé de me poursuivre, en usurpant mon identité ou des identités factices (huissiers, animateurs connus, gens de radio, etc). Allant jusqu'à faire des photos avec la même paire de lunettes que je porte sur la photo qu'il m'a volé sur Facebook pour me faire accuser... Depuis 2004, Lionel s'est régulièrement greffé sur des affaires qui ne le concernaient pas mais qui lui fournissaient le terreau facile pour venir alimenter le feu... Comme en 2008 avec Parenthèse Radio.

J'ai déposé plainte en 2013 et 2014 contre le capitaine Laurent Bruneau auprès de l'IGPN et contre les gens qui ont colporté des mensonges sur moi. En octobre 2016, j'ai rencontré la juge Gendre au Palais de justice de Paris, suite à ma plainte contre Isabelle Attali-Schmid.

Ma longue dégringolade a été observée par des gens parmi les plus proches de moi et qui n'ont rien fait pour me défendre.
Je n'ai jamais menacé qui que ce soit, ni par arme à feu ni d'aucune façon. Je n'ai pas d'arme à feu, je n'en ai jamais eue et je les déteste. Je suis non-violent. Des gens s'acharnent à m'assassiner depuis dix ans par le colportage ininterrompu de mensonges, dans le cadre de mon travail. Ils s'acharnent à le faire parce que j'ai voulu défendre mon honneur et mes intérêts dans le milieu professionnel (pas de contrats de travail, heures supplémentaires non payées, travail au noir, salaires misérables, harcèlement, puis statut de Délégué du personnel...). Le milieu de la radio et des médias étant un ramassis de gangsters.

La justice va devoir laver mon honneur et condamner les gens qui m'ont amené là, qu'ils soient policiers ou simples citoyens.

Le 12 juillet 2013, je suis condamné une nouvelle fois, (condamnation fortement facilitée semble-t-il par cette condamnation de 2009, basée sur une manipulation criminelle et les mensonges du Capitaine Laurent Bruneau). Condamné suite à cet évenement : le 6 janvier 2013, deux drogués (rapport de police) alcoolisés manquent de me tuer à coups de barre de fer et de pied dans la figure et je suis condamné une nouvelle fois, comme eux, pour avoir défendu ma vie aux poings en état de légitime défense. Et une nouvelle fois sur des mensonges. Ces deux junkies m'ayant agressé simplement parce qu'ils étaient "bourrés", du propre aveu de celui qui avait six mois fermes jamais effectués à son casier judiciaire. M'ayant agressé devant chez moi, là où je manifestais ma souffrance par affichage sur le mur de mon appartement depuis 2012.

Les innombrables courriers que j'ai envoyés à la justice, aux ministères, au Président de la République sont restés lettre morte, mise à part une transmission systématique de mon dossier au Garde des Sceaux et cette rencontre avec un juge d'instruction.

J'aurai prévenu régulièrement : dans la mesure où la justice refuse clairement de réagir et où les gens connaissant la vérité refusent de la dire, au prochain problème, j'userai de mon droit de légitime défense, en accord avec le Code pénal (122-5).

En ce qui concerne l'affaire de mon licenciement, le 31 juillet 2014, le Conseil des prud'hommes a condamné la société SOFISA / Parenthèse Radio, par l'intermédiaire de sa société "d'assurances" (faillite) à me verser 4220 € de dommages intérêts, notamment pour licenciement abusif.