Philippe Marty - Parenthèse Radio / Radio France
L'Homme Qui S'en Lavait Les Mains Sales


18 avril 2008 - Bosser plus pour gagner rien.
Mail ci-dessous dans lequel Philippe Marty me reproche de ne pas venir bosser... gratuitement. Ce que je faisais pourtant chaque semaine !

Il édicte également des "règles" inscrites dans aucun contrat de travail.
Rappel : j'étais payé 50€ de l'heure pour une émission hebdomadaire de deux heures, j'assurais environ 15h00 sans être payé dont une chronique cinéma diffusée 14 fois par semaine à l'antenne.
Salaire mensuel : 400€.
Horaires de travail : 9 / 11 le samedi pour l'émission Papoul ou pas papoul.

Je me rappelle parfaitement de cette entrevue du 24 juin 2008 avec Philippe Marty, comme si c'était hier.
Et je me rappelle parfaitement avoir terminé la conversation en lui disant : "Je te préviens que je vais me défendre".
Et je me rappelle parfaitement qu'il m'a répondu "OK".
Philippe a refusé l'indiscutable. Aujourd'hui, je me défends.

Recommandé adressé à Philippe Marty, Chef des programmes de Parenthèse Radio, le 25 juillet 2008, pour lui demander de prendre les mesures nécessaires pour faire stopper les agissements illégaux d'Isabelle Schmid, PDG, demande en adéquation avec le Code du travail. Resté sans réponse.

Philippe Marty sur ma page publique Facebook le 9 novembre 2012
C'est moi qui insulte, comme on peut le voir.Et c'est moi qui ai besoin d'un psy, comme on peut le voir.Ma BMW a été payée 2990 € grâce à 4 mois de travail 7 / 7 sur France Bleu, une radio qui paie et établit des contrats de travail, à la différence de Parenthèse Radio.
J'ai effectivement la haine, oui, je confirme, mais pas celle-là : j'ai  la haine des menteurs et des pleutres. Et je la garde bien au chaud au fond de mon coeur, pour ne pas mourir.
Philippe Marty a déboulé dans un fil de commentaires ne le concernant pas, suite à une intervention violente et diffamatoire de Manon Bakour, qui n'était pas concernée non plus et que par ailleurs, je ne connaissais pas...


Philippe Marty faisait courir le bruit depuis 2008 que je l'avais menacé de mort et je me suis retrouvé avec une horde sauvage de gens que je ne connaissais pas, qui m'ont littéralement broyé et violenté sur internet sur ma page publique. J'ai appris par la suite que tous ces gens étaient vraiment persuadés que j'étais un criminel. Ils n'avaient aucune preuve mais ça ne les dérangeait pas, tout comme ça ne les dérangeaient pas de venir m'insulter et me violenter. Tout ça est très normal et très sain, "psychiatriquement" parlant.

Je l'aurais donc menacé de mort, au travers d'un mail adressé avec mon adresse jerome.vigliano@parentheseradio.fr piraté par quelqu'un et d'appels téléphoniques lui demandant "Alors Marty, t'es pas encore mort ?" une dizaine de fois en pleine nuit. Et bien sûr j'aurais été assez con pour le prévenir avec mon mail professionnel et mon nom ! Ca n'est pas venu à l'idée de Philippe que tout ça était un peu trop évident pour être vrai. Non. Grâce à Philippe j'ai fait une garde à vue de 36 heures et une perquisition a été faite par la police dans mon appartement. Il me traitait de malade partout pendant que moi je me demandais pourquoi j'avais subi tout ça.
Parce que bien entendu, je n'ai jamais menacé Philippe, même s'il m'a laissé me faire virer comme une merde et qu'il a ainsi, tout comme Madame Attali-Schmid, violé le Code du travail.
Je n'ai su tout ça qu'en décembre 2012, après m'être fait insulter et violenter sur Internet public et donc avoir ouvert ce site afin de me défendre. Quand j'ai demandé où se trouvait le fameux mail, Philippe m'a informé qu'il ne l'avait pas ! Et la police, pendant la garde à vue, ne m'a jamais parlé ni de mail ni d'appels téléphoniques. J'aimerais bien savoir, donc, comment on peut perquisitionner mon appartement sur du vent ?
Et j'aimerais bien savoir où se trouve ce mail-fantôme. Parce qu'au bout d'un an et demi après ces révélations, je n'ai toujours pas le fin mot de l'histoire et il faut encore que je courre après les gens pour qu'ils témoignent. Et ils s'en foutent.
Très bien, eh bien moi je m'en fous aussi, désormais.
Je crois vraiment qu'on m'a pris pour un con et ça me fait encore plus mal parce que je suis déjà moribond, toute cette histoire n'y étant pas pour rien. Philippe c'est pas quelqu'un de mauvais, je ne crois pas, j'avais de bons rapports professionnels avec lui, même s'il m'a laissé me faire virer comme une merde, mais il va falloir qu'on me dise toute la vérité. Parce que bien sûr, je n'ai pas été condamné. Je n'ai jamais menacé quiconque et jusqu'à preuve du contraire, c'est bizarre, mais ce mail, il n'est nulle part ! Alors, qui a appelé Philippe Marty la nuit et qui a piraté mon adresse mail ? Ca m'a valu une perquisition et une garde à vue mais pas d'enquête pour retrouver l'auteur des menaces ? Bon.
Nous allons donc aller voir ça une bonne fois pour toutes devant un Tribunal correctionnel.
Pendant ce temps, les prud'hommes avancent (31 juillet 2014 : jugement en ma faveur : licenciement abusif) puisque j'ai été viré de Parenthèse Radio pour avoir refusé de signer la pile de contrats antidatés qu'Isabelle Attali-Schmid voulait me faire signer à grands coups de menaces bi-hebdomadaires.
Notons au passage que la totalité des animateurs de la radio a signé sans sourciller, y compris Lila Aïssiou, plus grosse grande gueule de la radio avec Laurent Bourdon et moi, dernière résistante avec moi, qui m'avait promis qu'on allait faire, je cite, "la guerre des 6 jours à Schmid" et qui finalement est partie la queue entre les pattes. Elle a juste signé. Et n'a jamais répondu à mon appel téléphonique. Parmi ces signataires, des journalistes ayant travaillé pour France Inter, TF1 et autres grands médias. Que des gens intelligents, mâtures, responsables. Que des gens qui sont les premiers en général à crier aux injustices sociales et prêts à jurer qu'ils veulent défendre la veuve et l'orphelin. Des gens avec une déontologie sociale, parfois "politique"...
En 2012, Philippe Marty m'a insulté, Manon Bakour, qu'il connaît, aussi. Philippe a également fait courir le bruit à Parenthèse Radio que j'étais, je cite, un "malade" ; pendant des mois. Aujourd'hui, il dit qu'il est désolé, qu'il ne savait pas...  Je peux comprendre qu'à ce moment-là, lui et Manon - je dis bien, ils semblaient - être persuadés que j'étais dangereux, mais maintenant, après m'avoir démoli sans preuve, il va falloir retrouver le coupable, et je ne vais pas pouvoir faire ça tout seul. Et quand bien même ils en étaient persuadés que leur comportement est pénalement répréhensible et qu'il devra de toute façon être sanctionné par la justice.
Où sont les preuves ? Et pourquoi ai-je été jugé sans convocation, sans avocat donc, et sans pouvoir me défendre. Je n'ai d'ailleurs reçu aucun jugement. Oui car à défaut d'être condamné pour menaces de mort où je ne sais quelle connerie, j'ai été condamné pour avoir prétendument cassé une... porte, avant d'être interpellé devant la radio, porte qui était déjà cassée. Et condamné pour rébellion (la réalité étant que c'est le policier qui m'a insulté, alors que j'étais tête baissée, menotté, muet, pleurant). Je n'ai pas non plus le dossier de l'instruction. Je vais donc le demander.
Bref, cette histoire est bizarre et j'ai donc décidé d'arrêter d'être gentil, ce qui me permettra d'arrêter d'être pris pour un con. Maintenant, les gens vont me dire la vérité, et une fois que ce sera fait, je verrai si je fais la paix. Pas le contraire.
Rendez-vous donc au Tribunal correctionnel avec une plainte de ma part pour :
- usurpation d'identité- menaces de mort- éventuellement, complicité.
Mais contre qui ? J'attends qu'on me dise.